Le projet de loi de finances pour l’année 2023 dans sa version initiale ne protège pas assez les filières agricoles.
Étiquette : Sihem Nemsia
Tunisie : pouvoir cachotier et journalistes maison
Abir Moussi a raison de dénoncer les cachoteries du gouvernement qui continue de considérer que les engagements de la Tunisie dans le cadre de son accord avec FMI comme un secret d’Etat et continue à en cacher les détails aux Tunisiens.
Tunisie : pourquoi (et sous quelles conditions) l’UGTT doit-elle accepter les réformes économiques ?
Pour sortir la Tunisie de la crise, pouvoir central doit changer sa politique de cavalier seul et tendre la main aux autres parties concernées, car le fardeau doit être partagé par tous et des sacrifices sont inévitables.
Tunisie-FMI : accord à minima, accord aux forceps
La dette tunisienne est déjà insoutenable, et le président Saïed ne peut faire comme ses prédécesseurs en se dopant par la dette et en hypothéquant l´avenir des générations futures.
Tunisie-FMI : Jihad Azour insiste sur l’urgence des réformes pour la croissance
La conjoncture actuelle n’aide pas à assurer la stabilité financière et favoriser la croissance, d’où l’importance d’adopter des réformes en Tunisie.
Tunisie : pourquoi les réformes fiscales n’avancent-elles pas ?
Il y a toute une littérature gouvernementale en Tunisie sur les réformes fiscales depuis au moins deux décennies, mais on n'arrive pas à les mettre en oeuvre. pourquoi ?
Le FMI prévoit pour la Tunisie une croissance de 1,6% en 2023
Le FMI prévoit pour la Tunisie une croissance de 2,2% en 2022 et 1,6% en 2023.
Tunisie : Kaïs Saïed à la poursuite d’un mirage
Il y a chez le président Kaïs Saïed un trait de caractère inquiétant, s’agissant d’un chef d’Etat : l’obstination dans la poursuite d’objectifs aussi vagues qu’irréels et incertains.
Tunisie : les raisons de l’échec des négociations entre l’UGTT et le gouvernement
Poignée de main entre Noureddine Taboubi et Najla Bouden: derrière les sourires, une mésentente totale...
Tunisie : Najla Bouden à court de solutions
Si l’on en juge par les traits fermés de la cheffe du gouvernement Najla Bouden et de la mine défaite des autres membres du gouvernement, on peut deviner que la situation en Tunisie, objet du conseil ministériel restreint, hier, est très sérieuse voire inquiétante.