La 4e édition des Journées chorégraphiques de Carthage (Carthage Dance) s’est clôturée ce soir, samedi 18 juin, avec trois beaux spectacles dans trois espaces différents. Retour en images sur une soirée de clôture haute en couleurs.
De grands spectacles de danse, des ateliers et des rencontres inédites avec les chorégraphes et les danseurs ont animé la quatrième édition de Carthage Dance qui s’est clôturée ce soir en beauté.
« Retrouvons-nous » était le thème de cette édition qui a en effet fait rencontrer les artistes avec le public après une édition numérique en demi-teinte et une autre annulée à cause la pandémie du Coronavirus (Covid-19).
Le comité directeur du festival a choisi de programmer non pas un mais trois spectacles différents pour cette soirée de clôture. Le théâtre El Hamra au centre-ville de Tunis a accueilli le spectacle tunisien « Un deuxième souffle » de Nesrine Benarbia, une ode féministe pour mettre la lumière sur l’inégalité et l’injustice dont sont encore victimes beaucoup de femmes. « Toute femme porte en elle une étincelle divine, celle qui anime tout humain…Seul le rêve permettra à cette étincelle de briller… », selon les mots de l’artiste.
La Cité de la Culture a accueilli deux autres spectacles : « Black and White circus » (Tunisie) de Nawel Skandrani au Théâtre des régions, une production de l’Opéra de Tunis où se réunissent la danse, le cirque et le théâtre ; et puis « Akzak – L’impatience d’une jeune reliée » de Hela Fattoumo et Eric Lamoureux, venus tout droit de France. Un spectacle qu’ils ont d’abord présenté à ciel ouvert dans le cadre du programme hors les murs du festival à la Porte de France.
F.B
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