Neji Jalloul appelle le président Kaïs Saïed à fixer officiellement une date pour l’élection présidentielle qui se tiendra en 2024.
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Néji Jalloul : « Notre seul problème avec Kaïs Saïed c’est qu’il n’écoute personne»
Néji Jalloul dit qu'il ne s'oppose à Kaïs Saïed. Il veut seulement que le président écoute ceux qui veulent l'aider.
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Tunisie : Néji Jalloul préconise une trêve sociale contre une trêve des prix
Pour un gouvernement de salut national soutenu par l'UGTT.
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Neji Jalloul : «Le pouvoir et l’opposition ont échoué, les Tunisiens ne leur font plus confiance»
Selon Neji Jalloul, la scène politique actuelle en Tunisie souffre d’un pouvoir défaillant et d’une opposition qui l’est encore davantage.
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Tunisie : le parti de la Coalition nationale veut rassembler l’opposition
Le CNT envisage de lancer une initiative nationale pour faire face à la crise politique, économique et sociale en Tunisie.
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Tunisie : l’opposition à Kaïs Saïed et le pari sur le chaos
Face au président Kaïs Saïed, qui semble déterminé à aller jusqu’au bout de son projet, l'opposition tunisienne affiche sa division et parie sur le chaos.
Les «centristes progressistes» en conclave : ces has been qui ne veulent pas lâcher prise
Une réunion de concertation s’est tenue lundi 1er mars 2021 dans un hôtel du centre de Tunis entre des personnalités de la scène politique tunisienne issues de la famille dite «centriste progressiste» pour débattre de la situation dans le pays et des moyens de le sortir de la crise.
Sami Ben Jannet à la tête de l’Ites pour quoi faire ?
Le directeur général (DG) de la Régie nationale des tabacs et allumettes (RNTA) relevant du ministère des Finances, Sami Ben Jannet, a été désigné à la tête de l’Institut tunisien des études stratégiques (Ites), succédant ainsi à Néji Jelloul, ancien ministre de l’Education (février 2015 – avril 2017).
Le débat télévisé des candidats à présidence : l’économique comme enjeu électoral crucial!
Les auteurs ont suivi et décortiqué les propos des 8 premiers candidats à la présidentielle du 15 septembre 2019, lors du débat télévisé d’hier soir, samedi 8 septembre 2019, et surtout leurs approches des défis économiques auxquels fait face la Tunisie. Leurs appréciations sont très mitigées. Par Moktar Lamari, Samir Trabelsi et Najah Attig *
Présidentielle anticipée : Serions-nous contraints à choisir entre un mafioso et un obscurantiste ?
Dans ce coup de gueule intitulé «J’accuserais…», l’auteur reproche, et le mot est faible, aux candidats de la famille dite centriste et moderniste de se présenter en rangs dispersés et de n’avoir pas constitué un front commun face aux obscurantismes et aux populismes rampants. Par Mohamed Ridha Bouguerra *