Le président de la Confédération des entreprises citoyennes de Tunisie (Conect), Tarak Cherif, estime que le problème de la Tunisie depuis la révolution de 2011 consiste en la mauvaise gouvernance.
«La Tunisie en tant que pays est comme une famille ou une entreprise, elle a des dépenses et des revenus, mais elle ne peut pas les contrôler, surtout après la révolution», a-t-il déclaré sur les ondes de Shems FM.
Et d’ajouter que la fonction publique et le secteur public «ont été inondés de recrutements» après la révolution, ce qui a beaucoup alourdi la masse salariale de l’Etat, notant que celle-ci est passée de 6 à 23 millions de dinars.
Il a, par ailleurs, estimé qu’il était plus approprié d’allouer cet argent au développement.
C. B. Y.
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