Samir Jaieb, le président du Groupe Alliance, a publié les éclaircissements suivants, par le biais de son avocat Me Fakher Gafsi, en réponse aux informations circulant à son sujet et qu’il qualifie d’«erronées».
Suite au verdict rendu en première instance dans l’affaire douanière intentée contre M. Samir Jaieb, et en réplique à la diffusion d’informations erronées relayées par certains médias audiovisuels, écrits et sur les réseaux sociaux, ce dernier souhaite apporter les précisions suivantes pour éclairer l’opinion publique.
Il affirme que le jugement rendu en première instance concerne uniquement des infractions douanières liées à la détention de devises étrangères (soit un montant de 650 euros, équivalent à environ 2 000 dinars tunisiens) et en rapport avec son statut juridique en tant que résident ou non-résident en Tunisie, ce qui impacte son droit à conserver un compte bancaire en devises en Tunisie.
M. Jaieb précise également que l’affaire susmentionnée ainsi que les poursuites judiciaires en cours à son encontre n’ont aucun lien avec les poursuites judiciaires impliquant l’ancien directeur de la police judiciaire et l’ancien chef de cabinet de madame la ministre de la Justice.
M. Jaieb considère que toute tentative d’y associer ses affaires judiciaires exclusivement fiscales et douanières relève d’une campagne de désinformation malveillante visant à le diaboliser et à ternir sa réputation.
En conséquence, il se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires contre toute personne relayant ces fausses allégations.
Communiqué.
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